Rétrospective
Jeanne Garoche
Les Garoches
Jeanne Garoche ma mère raconte
Avant de commencer je vais vous rappeler l'arbre généalogique de la famille, de nos aïeuls. Tout au moins les plus proches, les personnes que j'ai connues pendant mon enfance.
La famille à l'époque se composait de six enfants, du côté de mon père :• L’aîné, Jacques Garoche (1868-1943) marié à Augustine Rouault (1867-1946) habitait la ferme de Saint-Plestan à Saint-Alban. Ils ont eu trois (Quatres) enfants, Joseph (1896-1936), Francine (1911-1946) et Marie (1898-1914). et Anne Marie ( 1901-1901 )
• Mathurine Garoche (1873-1955), ma marraine, mariée à Louis Le Mounier (1868- ), a eu Marie (1894-1987), Augustine (1897-1944), Louis (1900' ), Mathurine (1908'2007) et Joseph (1911-1936) . Ils habitaient la ferme de Quéré à Planguenoual.
• Victorine Garoche (1874-1952) s'est mariée à Guillaume Gouezin (1875- ), et a eu quatre enfants : Marie (1905-1992) , Augustine (1908-1993), René (1904-1957) et Guillaume (1916-1959).
• Augustine Garoche (1871, ), à la ferme du Vau-Belay à Pléneuf-Val-André, mariée à Joseph Rouault (1861- ), n'a eu qu'une fille, Marie (1897-1977) (mariée à Félix Cherdo ( 1884- ), la mère des cousines actuelles.
• Marie Garoche (1876-1953), épouse Louis Lemaître (1871-1949), a eu Augustine (1906-1966), que j'appelais Titine, la mère de Marie-Ange (1928-2019), qui habitait au Poirier à Saint-Alban.
• Puis bien sûr Joseph Garoche (1882-1965), marié à Jeanne Plihon (1885-1955), a eu deux enfants, Maurice (1908-1992) et Jeanne (1914-1999), moi-même, mais nous aurions dû être quatre car Jacques et Joseph, mes petits frères, sont décédés.
Ci-dessous un lien vers une vidéo
Maintenant la famille Plihon, c'est à dire du côté maternel :
• Mon grand-père Auguste Plihon (1851-1936), que j'ai connu et dont je vous parlerai plus longuement plus loin.
• Par contre je n'ai pas connu ma grand-mère (Jeanne Andrieux 1846-1898) . Elle est morte quand Maman était jeune, mon grand-père s'était remarié ( Marie Jeanne Pincemin 1858-)(. Les enfants : Rosalie (1881-), Auguste ( 1887-), le père du parrain de Mariannick, Jeanne ( 1885_1955) ma mère et Jean ( 1891-1914) , mon oncle.
Maintenant nous allons faire un retour en arrière...
Toute ma petite enfance je l'ai vécue à Saint-Alban et Pléneuf-Val-André, dans les Côtes d'Armor, n'étant arrivée à Saint-Quay-Portrieux que vers 1922. Les liens de famille ont toujours été très forts entre Papa, Maman et mes oncles et tantes. Aussi en dehors de bien d'autres moments dans l'année, j'ai passé régulièrement mes grandes vacances – elles étaient grandes, deux mois et demie à l'époque ! du 14 juillet au 1er octobre – je les passais surtout au Poirier, chez ma tante Marie ( 1876-1953) et l'oncle Louis ( 1871-1949), les grands-parents de Marie-Ange.(1928-2019)
• Mon grand-père Auguste Plihon (1851-1936), que j'ai connu et dont je vous parlerai plus longuement plus loin.
• Par contre je n'ai pas connu ma grand-mère (Jeanne Andrieux 1846-1898) . Elle est morte quand Maman était jeune, mon grand-père s'était remarié ( Marie Jeanne Pincemin 1858-)(. Les enfants : Rosalie (1881-), Auguste ( 1887-), le père du parrain de Mariannick, Jeanne ( 1885_1955) ma mère et Jean ( 1891-1914) , mon oncle.
Maintenant nous allons faire un retour en arrière...
Toute ma petite enfance je l'ai vécue à Saint-Alban et Pléneuf-Val-André, dans les Côtes d'Armor, n'étant arrivée à Saint-Quay-Portrieux que vers 1922. Les liens de famille ont toujours été très forts entre Papa, Maman et mes oncles et tantes. Aussi en dehors de bien d'autres moments dans l'année, j'ai passé régulièrement mes grandes vacances – elles étaient grandes, deux mois et demie à l'époque ! du 14 juillet au 1er octobre – je les passais surtout au Poirier, chez ma tante Marie ( 1876-1953) et l'oncle Louis ( 1871-1949), les grands-parents de Marie-Ange.(1928-2019)
Toute ma petite enfance je l'ai vécue à Saint-Alban et Pléneuf-Val-André, dans les Côtes d'Armor, n'étant arrivée à Saint-Quay-Portrieux que vers 1922. Les liens de famille ont toujours été très forts entre Papa, Maman et mes oncles et tantes. Aussi en dehors de bien d'autres moments dans l'année, j'ai passé régulièrement mes grandes vacances – elles étaient grandes, deux mois et demie à l'époque ! du 14 juillet au 1er octobre – je les passais surtout au Poirier, chez ma tante Marie et l'oncle Louis, les grands-parents de Marie-Ange.
Les annotations en rouge ont été rajoutées par Robert Hello sur extraits de la publication Femme de Marin de Jeanne Garoche ma mère.